2020 et 2021 ont été marquées par la crise sanitaire, Covid-19, qui nous ont appris certaines pratiques afin d’en assurer la continuité des activités professionnelles. Dans le domaine des communications, un nombre important de projets de numérisation et de technologies ont émergé justement pour répondre aux nouveaux enjeux en matière d’interactions humaines, d’échanges et de partages.

L’intégration de nouveaux canaux s’est accélérée et continue avec un engouement pour l’innovation, qui, à elle seule, revient le défi de la résistance, de la persistance et de la durabilité. Les Dircoms étaient dans l’obligation d’entretenir l’image de l’entreprise avec cohérence, tout en veillant à la santé mentale des collaborateurs, à leur bien-être. Résister n’était pas un acte facile! En effet, après ces deux ans, la communication en interne a dû s’adapter et mettre au point des processus décalés pour recréer du lien avec et entre les collaborateurs.

La communication, nous le savons, est une science mouvante dont les usages sont en perpétuelle évolution, il est donc capital pour nous, les spécialistes du domaine, d’être toujours curieux et d’être sans cesse dans le questionnement tout en sachant comment nous adapter à la nouvelle technologie et à tout ce qu’elle nous offre comme « matériel technique », outils et moyens.

Perception de la croissance du secteur en Tunisie et en Afrique francophone en général, dans les 12 prochains mois.

En 2022, la communication institutionnelle qui concerne tous les échanges qu’une administration, une organisation ou une entreprise entretient avec ses membres, ses administrés ou ses différents partenaires et clients, aura le mérite d’appuyer l’image identifiable et prévisible dans un contexte de forte concurrence, et ce, en instituant la confiance voulue et méritée entre l’organisation et ses parties prenantes et en axant tout l’effort sur un contenu à valeur distinctive.