Selon le Directeur Général de l’EPTV (la télévision publique algérienne Ndlr), la chaîne sera officiellement lancée au courant de cette année. Soit le 5 juillet (symbolisant le 60e anniversaire de l’indépendance du pays) ou le 19 mars (la journée de commémoration du conflit algérien).

Un marge d’une réunion de travail tenue à Alger en janvier dernier, Mohamed Bouslimani, le ministre de la communication, indiquait que cette nouvelle chaîne de télévision parlementaire revêt une grande importance ; notamment dans l’enrichissement de la scène médiatique nationale et sa contribution au renforcement de la confiance entre le citoyen et le Parlement. Cette chaîne œuvrera également à « consolider l’édifice institutionnel, conformément à la Constitution de 2020, notamment l’article 54, garantir le droit à l’information, rapprocher le citoyen de son institution législative et renforcer la confiance entre le citoyen et le Parlement ».

Le ministre de la Communication avait exprimé, par la même occasion, la disponibilité de son département pour travailler au succès de ce projet et garantir également la formation des journalistes.

Pour le Président de l’Assemblée populaire nationale (APN), chambre basse du Parlement, cette chaîne « vise à éclairer l’opinion publique et à consacrer une véritable culture démocratique. Il s’agit d’informer l’opinion publique sur le travail et les missions de l’institution législative, notamment en matière de contrôle parlementaire et de diplomatie parlementaire ».

La rédaction.