C’est une professionnelle chevronnée qui connaît très bien le secteur de la communication et de la culture, qui prend les rênes du ministère de la Communication et de la Culture, des Arts et du Tourisme, au sein du gouvernement de Transition burkinabè.

Avant sa nomination, Valérie Kaboré a travaillé durant plusieurs décennies dans les industries de la communication, de la culture et des arts au Burkina Faso. Avant sa nomination, Valérie Kaboré a travaillé durant plusieurs décennies dans les industries de la communication, de la culture et des arts au Burkina Faso. Notamment au sein du groupe de communication globale « Médias 2000 » (une entreprise spécialisée dans le domaine de la publicité, de la communication pour le développement, de la réalisation ainsi que de la production cinématographique et télévisuelle), qu’elle a fondé il y’a plus d’une trentaine d’années, mais aussi de la radio Diva FM, basée à Ouagadougou et émettant sur la fréquence FM 88.1.

Sa passion pour la culture et les arts, l’ont conduite à produire le téléfilm à succès « Ina 1 et 2 » et à créer par la suite, un espace aménagé pour les productions cinématographiques et audiovisuelles dans son pays.

Préalablement à son accession aux commandes de la communication gouvernementale du « Pays des Hommes intègres », Valérie Kaboré accomplissait son deuxième mandat d’élue consulaire, dans la catégorie « entreprise culturelle et créative », au sein de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Burkina Faso (CCI-BF).

Parmi les principaux challenges qui attendent la ministres, l’on peut citer le défi de la modernisation de la société de télédiffusion Société Burkinabé de Télédiffusion (SBT), mais aussi la gestion de la communication gouvernementale du pays, dans un contexte de crises exacerbées par la multiplication des attaques terroristes, qui n’ont pas épargné l’ancienne administration.

La rédaction.